“Enfants Fleurs” Les bienfaits des fleurs de Bach pour les futures mamans, par Jean-Michel Piquemal

avertissement

“J’appelle Enfants Fleurs les enfants dont les parents ont pris des Fleurs de Bach pendant la grossesse.

Quelle chance de pouvoir choisir une telle famille !

Les homéopathes diront très souvent de soigner les parents pour (ou avant de) soigner les enfants…

Beaucoup d’entre vous connaissez les écrits du poète libanais Khalil Gibran « vos enfants ne sont pas vos enfants… », un merveilleux texte tiré du « Prophète ».

Ce n’est donc pas par hasard si le Docteur Edward Bach a consacré dans ses rares écrits une part importante à l’éducation de nos enfants. (lire « La guérison par les Fleurs » )

Tout se passe avant 6 ans… puis certains de surenchérir avant 3 ans… et l’inflation aidant et les découvertes de la bio-psycho-généalogie… tout se mémorise aussi pendant la grossesse pour le futur bébé.

Nous consacrerons donc une autre fois les Fleurs de Bach du désir d’enfant à « lorsque l’enfant paraît ».

Edward Bach nous dit qu’une grande partie des maladies du troisième millénaire auront leur ancrage dans l’éducation.

Le métier de parents n’est-il pas le métier le plus dur au monde ?

J’ai souvent dit en conférence que si le péché devait exister, ce serait d’avoir un projet pour l’autre.

« Mon fils reprendra mon entreprise, ma fille fera tout ce que je n’ai pas pu faire, je leur donnerai tout ce que je n’ai pas eu, pour rien au monde je n’aimerais ressembler à mon père ou à ma mère »… nous avons tous entendu de tels propos.

Or, qu’est-ce qu’un enfant, déjà une somme de déterminismes, astraux (si on croit à l’influence des planètes sur notre destinée), conditionnements génétique, culturel, sociaux, religieux dont nous sommes pétris dès l’enfance.

Le « qui suis-je » nous interrogera sur notre nature profonde : nous sommes une personnalité bien là dès la naissance. Et cette personnalité va nous suivre dans cette aventure humaine jusqu’au bout en s’enveloppant de strates, de voiles, de pelures avec toutes les expériences traversées au cours de notre vie, faisant de nous également au moment présent le résultat de tous nos choix antérieurs.

Eternel dilemme entre le libre arbitre et le déterminisme.

Le bébé est donc une personne : un enfant qui s’endort au sein sera probablement Clematis (La Fleur du déficit d’ancrage, des doux rêveurs qui perdent le contact avec la réalité matérielle). Il faudra même le réveiller alors !

Par contre un enfant impatient (Impatiens) piquera une colère si la tétée n’arrive pas suffisamment tôt…

Toutes les tendances sont bien là… dès la naissance donc. Dominant, dominé (Axe de travail Vine/Centaury), timide (Mimulus), distant (Water Violet), possessif (Chicory), très actif (Vervain), etc., ce qui nous amènera à distinguer les Fleurs de type et les Fleurs d’humeur selon la profondeur de l’ancrage et l’ancienneté de la manifestation (Niveau 2 du programme éducatif de la Fondation Bach).

Les Fleurs de Bach vont donc constituer dès la naissance le parfait accompagnement de cette jeune « personne » pour l’inscrire au plus tôt dans sa verticalité et la positivité de toutes ses qualités, un défaut étant un bien qui n’est pas encore à sa place.

Dans sa dimension trinitaire enseignée par le Docteur Bach, chacun d’entre nous a un projet à la naissance, celui d’acquérir des qualités, ce qui va donner donc un sens à notre existence.

Relire Paolo Coelho, « L’alchimiste » et sa légende personnelle.

On pourrait dire que notre but, l’objectif, sera de nous réaliser pleinement, c’est-à-dire de devenir pleinement nous-même.

L’enfant aidé par ses parents devra donc s’affranchir de pas mal d’obstacles sur son chemin d’évolution et de réalisation. Vu dans cette optique, nous aurions donc aussi plus à perdre qu’à acquérir, puisque tout est déjà en nous.

Modigliani disait que « ton seul devoir est de rester fidèle à ton rêve » !

Il faudra donc accompagner l’enfant dans ce potentiel de réalisation en éliminant au fur et à mesure les obstacles qu’il va rencontrer, dans la perspective de l’amener le plus tôt possible à son autonomie d’adulte conscient et responsable.

Etre fidèle au message de notre âme qui devrait gouverner notre personnalité : encore faut-il être à son écoute (Cerato, la Fleur du Maître intérieur) et ne pas se laisser influencer (Walnut, Fleur de l’hypersensibilité et de la protection) pour y arriver.

N’ayons pas peur (Mimulus/Red Chestnut pour les parents) donc de donner des Fleurs de Bach dès la naissance à ce plus beau bébé du monde !

Prenons conscience qu’il n’est pas un écran blanc de cinéma sur lequel nous allons projeter notre scénario…

Accueillir l’enfant, par exemple en cure dans l’eau du bain, avec Star of Bethléhem pour déprogrammer le choc que constitue la séparation, l’abandon du milieu aquatique intra-utérin pour le milieu aérien.

Walnut pour favoriser son adaptation si elle est difficile (rythmes diurnes/nocturnes également).

Notons que les Fleurs prises par la maman vont bénéficier à l’enfant aussi.

Avant la tétée, on peut masser le mamelon du sein avec du Rescue® pour apaiser un enfant nerveux.

N’ayons pas en général de préjugés sur les Fleurs qui seraient mieux adaptées que d’autres aux enfants.

Un bébé qui fait des cauchemars sera nettement amélioré avec Rock Rose (terreurs nocturnes).

Je donnerai pour exemple Cherry Plum, la Fleur des pulsions incontrôlées et destructrices que j’ai trouvée chez des tous petits qui se frappaient la tête contre les barreaux de leur petit lit, qui pour d’autres rongeaient au sang leurs petits doigts ou bien s’arrachaient des mèches de cheveux dans des comportements compulsifs.

Un second exemple de préjugé serait Honeysuckle, la Fleur du passé que l’on regrette avec nostalgie parfois.

Il m’arrive couramment de poser cette question aux jeunes enfants (et oui, un entretien peut avoir lieu avec de très jeunes enfants, surprenant parfois leurs parents dans leurs réponses !) : « n’était-ce pas mieux pour toi avant, quand tu avais ta maman pour toi tout seul ? Nostalgie du sein maternel, de la fusion avec la mère… (Penser à Chicory pour les deux protagonistes).

Un enfant chez lequel on va déceler des retards ou difficultés d’adaptation tirera les bienfaits de Chestnut Bud, Fleur de l’apprentissage.

Les psychanalystes expliquent que les enfants considèrent leurs parents comme des demi-Dieux et la prise de conscience qu’ils peuvent être malades ou mourir éveillera souvent des peurs profondes de type Red Chestnut.

Un petit garçon de 6 ans stupéfia ses parents quand il avoua une grande peur pour eux, tous deux navigants aériens.

Accompagner un enfant c’est aussi le fait de lui donner courage (Mimulus) et confiance (Larch).

Restons attentifs à leur découragement (Gentian).

Un jeune enfant en consultation s’était mis par terre dans mon bureau, sur le tapis et j’ai demandé à la maman de le laisser faire… il a sorti de la poubelle une feuille de papier et l’a déchirée en petites bandelettes avec méticulosité, puis une seconde feuille et a rangé, bien alignées. Ces bandelettes. Patient et ordonné, il manifestait déjà « son » Crab Apple.

On dit souvent aussi que nos enfants sont nos Maîtres. Nous avons juste pour nous l’antériorité du savoir sur eux, ce qui nous donne des droits et des obligations. Ils vont nous pousser dans nos derniers retranchement, nous séduire, nous manipuler, nous agacer (syndrome du bébé secoué), en nous renvoyant à nous-mêmes nos défauts, nos excès, nos déficits : une belle opportunité de faire un travail sur soi.

La rondeur des galets est due à la friction de vulgaires cailloux qui perdent dans la relation aux autres leurs arêtes vives.

L’autre est un miroir de nous-même (parfois déformant) et une opportunité d’enrichissement, y compris les enfants.

Mieux vaut qu’ils se construisent avec nous plutôt que contre nous de façon à ce que l’on n’entende plus dire comme André Gide « tout le monde n’a pas eu la chance d’être orphelin » !

Ah, RESPECT quand tu nous tiens…”

Jean-Michel Piquemal, Conseiller agréé et Formateur Fleurs de Bach certifié par le Centre Bach de Grande-Bretagne

Retrouver le livre numérique de Jean-Michel sur notre site: “La Vie à pleine fleurs”

Demandez toujours l’avis de votre médecin ou d’un autre professionnel des soins de santé qualifié pour toute question portant sur un problème de santé. En aucun cas, les Fleurs de Bach ne peuvent se substituer à une démarche médicale, ni remplacer votre traitement médical conventionnel qui doit être impérativement géré par votre médecin traitant.

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