De l’âme et de l’esprit…réflexions…

« Dans « Guéris-toi toi-même », le Dr Bach nous invite à écouter notre âme…
Tout un programme!!!… 
Récemment quelqu’un de rare m’a posé la question suivante: « Quelle est la différence entre l’âme et l’esprit??? »
Cette question mérite que l’on s’y attarde et grâce à cette personne, au Dr Bach & à François Cheng, académicien, je suis partie en exploration, au côté de mon chat Anubis, nom du Dieu égyptien passeur d’âmes… » par Virginie Lucet, Conseillère agréée et formatrice certifiée par le Centre BACH.
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Lorsque j’ai rencontré les Fleurs de Bach il y a quelques années je ne me doutais pas que j’étais tombée dans un puits… un puits de lumière sans fond… Grâce aux Fleurs de Bach il y a eu aussi toutes ces rencontres, ces partages, ces lectures et ces chemins de traverse vers lesquels elles m’ont menée et me mènent encore. Toutes ces interactions me nourrissent chaque jour un peu plus.

Et si parfois le monde dans lequel nous vivons me dépasse, si parfois le genre humain souvent par sa violence et par son inconscience ou son non-respect du vivant m’interpelle, alors la « watervioletisation » me guette et je me réfugie dans mon phare entourée de mes livres, de ses penseurs libres, qui ont réfléchi bien avant moi sur le sens de la vie et des relations humaines…

Puis par la magie des Fleurs, grâce à Water violet et à Walnut (entre autres), je descends de mon phare et je m’aperçois que c’est pourtant et avant tout dans l’écoute de l’autre et de la nature qui m’entoure, que je puise l’énergie et l’espoir de voir le beau et le bien en toute chose, dans les partages, les échanges au « hasard » de mes rencontres…

Chaque rencontre, appréciée en conscience, est un cadeau, quelle qu’en soit l’issue, éphémère ou non…

 « Il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rendez-vous » disait Paul Eluard.

Alors aujourd’hui, même si je sais que je ne sais rien, malgré toutes ces lectures, ces apprentissages, je choisis de penser qu’il y a toujours « grâce aux autres », grâce à nos rencontres, à apprendre, à polir, à s’ouvrir, à écouter, à s’écouter, à respecter, à se respecter,  à s’enrichir grâce à cette formidable chaîne dont nous ne sommes qu’un petit maillon…

Le docteur Edward Bach nous dit que cette  vie n’est qu’une simple journée d’école et que chaque jour nous apprenons… (Guéris-toi toi-même, p.24)

L’invitation de la vie me rappelle ce que Nietzche disait : « Deviens qui tu es » (Ainsi parlait Zarathoustra)

Et pour cela nous devons écouter notre âme…

Âme ??!! Un mot qui fait souvent peur, comme en témoignaient les Conseillers en Fleurs de Bach lors de notre 3ème Rencontre professionnelle.

Pourtant le Dr Bach dans le seul texte qu’il a souhaité nous « laisser » , utilise 65 fois le mot « âme » en 71 pages petit format. C’est un thème central chez cet humaniste qui nous interpelle sur la notion de conflit entre l’âme et la personnalité, pour qui nous sommes ici pour évoluer selon les directives de notre âme seule.

Récemment une personne « importante pour moi » me disait : « j’ai du mal à faire la différence entre l’âme et l’esprit !!… »

Il est vrai que pour moi aussi il y a des années, ce « concept » était assez vague! C’est grâce au Dr Bach et à ma formatrice de Niveau 1, Claire Routin, (elle nous avait fait un schéma avec un attelage, un cocher et deux chevaux) que j’ai pu mieux comprendre ce que cela voulait dire mais il m’a fallu plusieurs années pour apprivoiser cette « compréhension » et surtout m’en rapprocher et découvrir pleinement en quoi il est si important d’avoir la conscience de son âme… et de l’écouter…

Le Dr Bach nous invite chaque jour à avoir cette conscience, à l’observer, à l’écouter, à lui faire confiance, à la respecter… Les Fleurs de Bach nous amènent en douceur à y être plus attentif et à partager cette attention avec ceux qui nous entourent…

Grâce à elles nous affinons nos perceptions, pas seulement ce que nous recevons de l’extérieur par notre interrelation avec le monde, mais nous affinons également  la compréhension, la connaissance que nous pouvons avoir de nous-mêmes… C’est comme si de petites lucioles nous accompagnaient sur notre chemin pour nous aider à y voir plus clair… Des gouttes de Fleurs, des gouttes de lumières… et chaque jour que je prends ces quelques gouttes en conscience, j’observe… Le chemin est long, sinueux et une vie ne suffira pas à tout « comprendre »,  si tant est qu’il y ait à comprendre !!! Et c’est sûrement là le piège… L’invitation est d’écouter son âme et de ressentir

Comprendre est du domaine de l’esprit, c’est tenter d’intellectualiser, et c’est lorsque nous tentons de comprendre que parfois nous prenons peur ! Peur de souffrir, peur de faire souffrir, peur de faire de mauvais choix, peur de perdre nos attachements (matériels, affectifs, nos repères imposés par la morale, la société, la culture, la famille, le cap ou les obligations que nous nous sommes fixés). La peur nous conduit aux jugements, à la dualité : c’est mal/c’est bien. Nous voilà coupés en deux ! Voire en morceaux… en désordre, en confusion…  Perdus, perdus de nous-mêmes, coupés de nous-mêmes…

Pourtant  chaque jour, l’instant présent nous offre des cadeaux pour nous guider, ces hasards, ces synchronicités, ces ressentis, ces émotions, autant de richesses qui nous permettent de ressentir pleinement si nous sommes en harmonie avec nous-mêmes ou pas.

Il se passe tellement de choses en nous et autour de nous !  Et lorsque nous « comprenons » qu’il n’y a que l’Amour ou la Peur, que le Bien et le Mal ont faussé nos perceptions, alors nous entrons dans une compréhension bien différente de tout ce qui nous entoure… et c’est un travail de chaque jour que d’aiguiser notre acuité à cette invitation à observer le monde.

A travers mes yeux réséda, j’essaye d’y voir plus clair… Grâce à ceux que j’aime, je comprends l’importance ou la nécessité d’être plus attentive à ce (ceux) qui nous entoure, à la nature et aux êtres, à la symbiose que nous pouvons ressentir ou pas, à cette fluidité dans les interactions ou pas, à cette compréhension au-delà des mots ou pas, à cette alchimie ou pas, à cette harmonie ou à cette dysharmonie, à observer que tout est énergie et que nos échanges sont aussi de cet ordre même si cela nous dépasse parfois (certaines expressions nous trahissent : je suis vidée, il/elle me pompe, me fatigue, m’épuise, j’en ai plein le dos, il/elle m’étouffe, ou à contrario : à cœur vaillant rien d’impossible, je me sens vivant(e) et légèr(e), j’irai au bout du monde, etc..)

Observons que lorsque notre esprit nous tire dans une certaine direction (Il faut que, je dois..), et que notre âme souhaite aller dans une autre, alors nous sommes justement tiraillés. De là naît le conflit, de là naît la souffrance et c’est notre corps qui va être impacté (notre attelage), c’est lui qui est là pour nous le rappeler, pour nous envoyer les signaux!

Observons aussi que chaque personne qui arrive dans notre vie est un cadeau pour nous aider à grandir quoiqu’il arrive…

Lorsque nous sommes attentifs à notre âme, telles sont ses multiples invitations : s’ouvrir, accueillir…

Tout le contraire de la peur…

« Nous avons beaucoup à découvrir mais nous ne devons pas être effrayé par la tâche » (Dr Bach Collected Writings )

Après Impatiens et Clematis, Le Dr Bach trouve en 1928 sa troisième Fleur : Mimulus* pour nos peurs définies, avant qu’il ne découvre les 4 autres pour nos peurs… nos peurs inexpliquées voire existentielles (Aspen), les peurs qui nous paralysent  (Rock Rose), la peur que l’on se fait pour ceux que l’on aime (Red Chestnut), la peur de perdre le contrôle (Cherry Plum).

Quelques jours après ce questionnement sur l’Âme, je trouve « par hasard » chez mon libraire, le livre de l’académicien François Cheng : « De l’âme »… J’étais ravie du cadeau de cette lecture et je me suis permis de choisir quelques extraits pour que nous puissions mettre des mots, et justement pas n’importe lesquels (chacun son métier !) sur ce qu’est l’âme et sa relation avec l’esprit, en quoi y être attentif est important pour chacun d’entre nous.

« Notre âme nous guide pour notre plus grand bien « ,

« Avant tout , faisons de la vie une aventure pleine d’intérêt d’où l’ennui sera banni et , grâce à la connaissance ainsi acquise, cherchons à mettre notre esprit en harmonie avec notre âme et avec la grande Unité… » Dr Bach

« La magie » se produit sûrement lorsque « l’âme agit »…

J’ai ressenti un réel besoin de partager ces « jolis mots » du livre de François Cheng…  parce qu’un livre est comme un jardin… on y entre en ami, en invité, en curieux, il s’y  passe toujours quelque chose et c’est tellement délicieux quand c’est bien écrit.

En toute humilité je laisse la parole à François Cheng, pour continuer ce voyage au cœur de notre âme.

Virginie LUCET, Conseillère agréée et formatrice certifiée par le Centre BACH, Membre active de l’association La petite école des Fleurs de Bach (LPEFB).

Note : Je remercie F.Martinet dont les ailes m’ont donné l’occasion de faire ce beau voyage.  

*Cf l’histoire de la découverte de Mimulus dans « Sur les traces du Dr Bach et de ses Fleurs » de Julian Barnard, page 59

« De l’Âme »…

« Instruits par notre esprit, nous voyons se révéler à nous cette part la plus intime de notre être, à qui nous donnons un nom tout aussi intime : âme. Âme qui, terreau des désirs, des émotions et de la mémoire, est un état qu’on pourrait qualifier de pré- langage et de pré-conscience -non sans qu’un chant natif soit déjà là-, et qui nous accompagnera jusqu’au bout, lors même que nous serions privés de conscience ou de langage. Toute d’une pièce, indivisible, irréductible, irremplaçable, absorbant en effet les dons du corps et de l’esprit, donc pleinement incarnée, elle est la marque de l’unicité de chacun de nous et, par-là, de la vraie dignité de chacun de nous. Elle se révèle l’unique don incarné que chacun de nous puisse laisser. »

« Comment, en effet, pourrait-on parler de l’âme sans parler de l’esprit ? Comment ne pas affirmer sans plus tarder le principe ternaire qui régit le fonctionnement de notre être, principe justement incarné par la triade corps – âme – esprit ? Comment ne pas souligner enfin la place centrale qu’occupe l’esprit au sein de cette triade ? »

« Cela dit, je dois vous avouer que vous me mettez au-devant d’une tâche plus que malaisée -combien nécessaire cependant-, celle de regarder de plus près ce qui distingue l’âme de l’esprit, ainsi que la relation qu’ils entretiennent. Tâche malaisée parce que la frontière entre les deux est floue, tant ils sont interpénétrés, imbriqués l’un dans l’autre. Complémentaires, ils entretiennent une relation de nature dialectique. En réalité, une définition nette de l’âme et de l’esprit se révèle impossible ; on ne peut les cerner qu’en les situant l’une par rapport à l’autre. »

« A défaut d’une définition, on peut du moins constater que chacun des deux est une entité douée de capacité d’agir. Du coup, il nous paraît possible de cerner le domaine et le type d’action de chacun, en posant d’abord  – de manière intuitive – ceci : l’âme est en nous ce qui nous permet de désirer, de ressentir, de nous émouvoir, de résonner, de conserver mémoire de toute part, même enfouie, même inconsciente de notre vécu et, par-dessus tout, de communier par affect ou par amour ; songeant aux trois puissances supérieures de l’âme reconnues par Augustin, à savoir la mémoire, l’intelligence et de la volonté, j’avancerais pour ma part le désir, la mémoire et l’intelligence du cœur. »

« L’esprit est en nous ce qui nous permet de penser, de raisonner, de concevoir, d’organiser, de réaliser, d’accumuler consciemment les expériences en vue d’un savoir et, par-dessus tout, de communiquer par échange. »

« … montrer le lien intime qui unit les deux, tout en soulignant ce qui est spécifique à chacun. Que nous est-il donné de constater ? L’esprit de chaque être, pour personnel qu’il soit, a un caractère plus général. Fondé sur le langage, il implique un apprentissage, une formation, un acquis. Son développement est lié à un environnement culturel, à une collectivité issue d’une certaine tradition, et ses propres activités, relevant en principe du communicable et du partageable, s’effectuent aussi dans un contexte de relations et d’échange. »

« L’âme, quant à elle, à quelque chose d’originel, de natif, comportant une dimension inconsciente, insondable pour ainsi dire, qui la relie au mystère même qui à l’origine avait présidé à l’avènement de l’univers vivant. Si l’esprit aide le sujet à prendre conscience de la réalité de son âme, celle-ci recèle un état qui se situe en deçà, à moins que ce ne soit au-delà, du langage. »

« Constituant la part la plus intime, la plus secrète, la plus inextricable et, dans le même temps, la plus vitale de chaque être, absolument spécifique à lui, elle demeure en lui dès avant sa naissance, cela jusqu’à son dernier souffle, entité irréductible et surtout irremplaçable. Car, là encore, elle incarne un autre mystère : le fait qu’au sein de l’univers vivant, toute vie forme une entité autonome et signe sa présence unique. L’unicité de l’être, cette vérité universelle, s’affirme de façon éclatante chez la personne humaine et c’est son âme qui en est l’incarnation. Non un attribut, ni une faculté : unie à un corps et l’animant, elle est la personne même. Cela, je vous le rappelle, est justement une des acceptions du mot « âme ». Ici, tout d’un coup, une quasi définition me paraît possible : l’âme est la marque indélébile de l’unicité de chaque personne humaine. »

 « Une entité irréductible et irremplaçable », ai-je dit. L’âme peut être négligée ou mise en sourdine, escamotée voire ignorée par le sujet conscient, elle est là, entière, conservant en elle désir de vie et mémoire de vie, élans et blessures emmêlés, joies et peines confondues. »

« Je me souviens d’une proposition de mon ami Jacques de Bourbon Busset : « l’âme est la basse continue qui résonne en chacun de nous ». Comme elle est reliée au Souffle originel, elle chante en nous un chant à l’accent éternel. Disant cela, je suis tenté d’ajouter que l’âme n’est pas seulement la marque de l’unicité de chaque personne, elle lui assure une unité de fond et, par là, une dignité, une valeur en tant qu’être. »

« Je ne cherche en rien à diminuer l’importance de l’esprit. Disons qu’au niveau d’un individu, l’esprit est grand et l’âme essentielle, que le rôle de l’esprit est central et celui de l’âme fondamental. Au plan d’une société, en raison de la spécificité de chacun des deux, il y a comme une répartition des domaines d’action où domine l’un et l’autre. L’esprit déploie pleinement son pouvoir d’agir dans toute organisation sociale, que celle-ci soit politique, économique, juridique ou éducative. Il régit les réseaux de transport comme de communication. Il règne en maître dans le domaine de la pensée philosophique et de la recherche scientifique. »

« Mais par ailleurs il existe des domaines d’une nature différente où, sans que l’esprit soit absent, entre en jeu l’âme. Ce sont les domaines qui échappent à la compétence du seul raisonnement, qui sollicitent de notre être toute sa capacité à ressentir, à éprouver, à s’émouvoir, à résonner, à complexifier son imagination, à approfondir sa mémoire, à être en symbiose avec d’autres entités vivantes et avec la transcendance. Ces domaines sont ceux qui se situent au-delà de la problématique de l’organisation et du fonctionnement et qui apostrophent notre destin en l’obligeant à donner sens aux instants vécus, à relever le défi de la souffrance et de la mort. Ces sphères sont celles où règne la beauté, l’amour et toutes les formes de création artistique dont l’humain est capable. »

« Savoir qu’on a une âme ou l’ignorer, cela ne revient pas au même. Savoir qu’on a une âme, c’est porter une attention éveillée aux trésors qui peuvent s’offrir dans la grisaille des jours, laquelle s’exerce à tout ensevelir. Trésors dénichés qu’on ne met plus dans la poussière du grenier, qu’on chérit au lieu de les jeter au vent. De plein gré ou à notre insu, on s’engage alors dans un processus où le corps charnel se sature à mesure de l’âme, et l’âme, instruite par le corps sans se soumettre à lui, devient une entité de plus en plus autonome, et charnelle. »

«  Nous ne sommes pas seuls, à savoir que nous avons une âme, à ne pas négliger cette part irremplaçable qui est notre être même. Elle est précieuse aussi bien pour soi que pour les autres êtres rendus inaliénables par le miracle de la rencontre, un miracle qui ne peut se produire que grâce à l’intelligence du cœur, autrement dit à l’amour. »

« Cette rencontre privilégiée et d’autres encore m’ont persuadé que l’âme humaine est capable d’élévation ; qu’elle est à même de joindre l’âme divine. A côté de la beauté du corps, il y a bien une beauté de l’âme. Celle-ci a pour nom « bonté », laquelle, de fait, possède l’essence de la vraie beauté. La beauté du corps ne dure pas ; elle peut aussi être corrompue par la perversion. La bonté, si elle est authentique, n’est pas limitée par le temps, elle est d’une beauté sans mélange. »

« Chez un être, la beauté de l’âme transparaît dans le regard et se traduit par un ensemble de gestes. Elle nous touche au-delà des mots. Seules les larmes muettes parviennent parfois à dire l’émotion qu’elle suscite. »

« l’esprit raisonne, l’âme résonne »

« l’esprit se meut, l’âme s’émeut »

« l’esprit communique, l’âme communie ».

Extraits de « De l’âme », de François Cheng, de l’Académie française, Albin Michel, 2016.

« Il nous sera d’un grand secours de nous isoler chaque jour quelques instants pour méditer sur la beauté de la paix de l’âme et nous représenter les avantages que nous apporte le calme, de nous convaincre que ce n’est ni en nous tracassant ni en nous agitant que nous accomplissons de plus, mais que c’est dans le calme, en réfléchissant et en agissant posément que nous devenons plus efficients dans tout ce que nous entreprenons. C’est en vérité une grande chose que d’harmoniser notre conduite en cette vie avec les désirs de notre âme et de nous maintenir dans un état de paix  tel que les épreuves et agitations du monde ne puissent nous ébranler. Nous y gagnons une sérénité qui dépasse l’entendement, et bien que cela puisse de prime abord nous paraître un rêve inaccessible, c’est en réalité, avec de la patience et de la persévérance, à la portée de chacun de nous. »  Dr Edward BACH  « Guéris-toi toi-même », Chapitre 8

2 réflexions sur “De l’âme et de l’esprit…réflexions…”

  1. Cet article est magnifique et passionnant. Il ne pouvait pas tomber mieux pour moi, qui suis justement dans une phase de travail sur mon âme. Je suis une fan des fleurs de Bach mais je n’ai pas pensé, jusqu’à aujourd’hui, à les utiliser pour ma quête. Je vous dis donc un gros MERCI!!!!

    PS. j’aime particulièrement le mot « watervioletisation »!!!

  2. Anne Marie DELORME

    C’est une question récurrente !! qui se pose dès qu’une personne invoque le fait de « ne pas comprendre ». En s’aidant des Fleurs, lorsque la rationalité de l’esprit le permet, je vois pas à pas le chemin se dessiner vers une ouverture du cœur. Cet article est un voyage à lui tout seul ! MERCI du fond du cœur.

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